Turbulence

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Rire, chahuter, jouer, parler, manger… On traverse les années. On s’attache, et on croit que cela durera. Pourtant, chaque chose à une fin. On ne sait jamais quand ce sera la dernière fois. Cette dernière fois où on a joué, où on a parlé, où on a ri, cette dernière fois où on s’est serré la main.

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Au piano, jouée dans la gamme de Si bémol majeur.
Le clavier est un Roland Juno DS-88. Le son provient d’une VST retranscrivant le fichier MIDI enregistré avec Logic Pro X. Le morceau a été joué d’une traite, et très peu modifié en post production.

Cette étude de Fernando Sor, pour guitare seule, fut utilisée dans un sketch de Raymond Devos « J’ai des doutes », où l’humoriste, parlant de Fernando Sor et jouant à la guitare sa cinquième étude, ironise sur ses problèmes conjugaux.

À l'origine, aucune suite n'avait été prévue, néanmoins je voulais de nouveau me promener sur le sentier de la nostalgie. Une composition exprimant un cheminement intérieur partagé entre la nostalgie et la béatitude. Jonché de nos pensées, c'est de ce cheminement que nous sommes tous les auteurs.

Une composition pour piano seul, exprimant un cheminement intérieur partagé entre la nostalgie et une détermination expectative. Un constat entre le passé, le présent et l'avenir.

Ce morceau, bien que composé pour violon, a été joué sur un clavier. En parallèle, le son d’un violon a été placé sans délai sur certaines notes du clavier et pour imiter la souplesse ; la richesse d’un vrai violoniste, une partie des autres notes de mon clavier étaient destinées à régler le VST.

Pour ce monument (malheureusement enregistré en plusieurs fois ici), je me suis inspiré d’une interprétation d’Alexander Markov, et j’ai perfectionné chaque aspect de mon jeu pour que le violon ne soit plus différenciable d’un vrai.

 Orchestré à partir d’une adaptation pour piano seul, ce medley n’est en rien dépourvu de prestance ; de panache. Des sections de flûtes soutenues par des cuivres, une section de cordes frottées à laquelle s’ajoutent une harpe, une guitare et un piano. Sans compter l’orgue, l’accordéon...

Cette musique a été jouée sur un Juno DS-88 de Roland dans la gamme de Si bémol majeur en utilisant la technologie MIDI. Le son provient donc de deux VST retranscrivant ce fichier enregistré avec Logic Pro X.